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La médecine conventionnée s’appuie sur une approche thérapeutique basée sur des traitements médicamenteux validés scientifiquement. Cette approche s’appuie sur une méthodologie rigoureuse qui vise à soigner les patients, les soulager de leurs symptômes et les guérir. Les médecins sont diplômés et répertoriés à l’Ordre National des Médecins.
Les médecines douces dites, parallèles, alternatives, holistiques ou traditionnelles abordent les soins par des pratiques naturelles qui n’ont pas fait l’objet d’études scientifiques démontrant les effets, leur efficacité et leur non-dangerosité. Très peu de formations sont validées par un diplôme reconnu par l’État.
L’OMS distingue ces médecines alternatives et complémentaires nommées MAC en 4 catégories :
Parmi les 400 MAC, l’Ordre National des Médecins reconnait l’acupuncture, l’homéopathie, l’ostéopathie et la mésothérapie pratiquées par des médecins au titre d’une spécialité (DU) ou par des praticiens ostéopathes non médecins.
A noter que certains anesthésistes commencent, aussi, à utiliser l’hypnose dans certains cas pour leurs patients.
La sécurité sociale ne rembourse que peu ou prou les médecines complémentaires :
Si vous avez besoin de séances d’acupuncture ou d’autres thérapies douces nécessaires à votre bien-être dans le cadre de traitements chroniques ou aigus, vous pouvez vous rapprocher de votre mutuelle santé pour connaître les prises en charge éventuelles.
Bon à savoir : Chez M comme Mutuelle, nous proposons une prise en charge forfaitaire de vos consultations en médecines complémentaires avec nos offres Efficace et Rassurante de notre gamme Esprit M. (sous réserve que le praticien soit diplômé ou que l’acte soit pratiqué par un professionnel médical ou paramédical, et dans le cadre des médecines listées dans nos contrats). N’hésitez-pas à vous rapprocher d’un de nos conseillers ou de votre agence pour évaluer la meilleure garantie selon vos besoins.
Les médecines naturelles ou douces portent bien leur nom : complémentaires, parallèles, elles ne peuvent être la seule façon de se soigner quand un diagnostic médical est posé. Mais peuvent tout à fait s’intégrer à un mode de vie pour entretenir sa forme physique et mentale.
Les médecines parallèles ou traditionnelles ne peuvent se subtiliser complètement à la médecine conventionnelle. Toutes ont leurs valeurs thérapeutiques, mais seules, elles ne peuvent guérir.
Leur fonction d’accompagnement sera bénéfique si une analyse des symptômes des patients et de leur source est réalisée avec précision. Selon le mode de vie, les antécédents de santé et la physiologie des uns et des autres, certaines thérapies auront une efficacité sur certains symptômes et d’autres peu.
Dans tous les cas, le diagnostic médical reste l’affaire des médecins conventionnés et les praticiens de médecines dites alternatives ne peuvent se substituer à eux. Leur rôle est d’apporter aux patients des soins complémentaires, en plus de leur traitement conventionnel prescrit.
De plus en plus de Français choisissent ces médecines qui ne cessent de se renouveler pour leur approche « sur-mesure ». Elles leur proposent des solutions qui leur semblent plus adaptées à leur aspiration de soins. Les adeptes de ces médecines douces sont motivés par la pratique naturelle, le temps dédié au soin et les bienfaits pour le corps et l’esprit.
C’est pourquoi le patient doit être vigilant et choisir la thérapie dont la pratique lui convient selon sa personnalité et ses besoins physiques ou psychiques, et surtout se renseigner sur la formation du praticien.
De plus en plus de Français choisissent les médecines naturelles qui ne cessent de se renouveler pour leur approche « sur-mesure ». Ces approches parallèles du « soin » leur proposent des solutions qui leur semblent plus adaptées à leur aspiration côté santé. Les adeptes de ces médecines douces sont motivés par la pratique naturelle, le temps dédié au soin et les bienfaits pour le corps et l’esprit. Ils recherchent essentiellement :
Le patient doit être vigilant et pouvoir choisir la thérapie dont la pratique lui convient selon sa personnalité et ses besoins physiques ou psychiques, et surtout se renseigner sur la formation du praticien. Sans oublier d’en parler avec son médecin traitant qui pourra adapter sa prescription le cas échéant.
Les équipes M comme Mutuelle vous dresse une cartographie simple de certaines médecines parallèles courantes différenciées en 4 catégories parmi les 400 répertoriées par l’OMS.
Les thérapies manuelles et énergétiques sont de plus en plus plébiscitées, car elles répondent essentiellement aux maux dus
Parmi ces pratiques manuelles, on retrouve :
Les thérapies « corps/esprit » s’appuient sur l’interaction entre les émotions, le psychisme et le corps. Elles visent à renforcer l’immunologie en agissant sur la conscience en passant par la relaxation, la médiation et l’approche psychosociale. Elles permettent d’améliorer la qualité de vie en faisant face au stress chronique déclenché par des problèmes relationnels, professionnels, financiers et à certains environnements également.
Là encore, la formation du praticien est primordiale pour faire son choix parmi les principales thérapies telles que :
À base de plantes choisies pour leur substance active et transformées en extraits, les thérapies biologiques visent à entretenir ou à bonifier la santé tout en ayant une vie équilibrée quotidienne : alimentation, sommeil, activités physiques. Elles renforcent l’organisme parfois fragilisé par les aléas de la vie.
Les plus courantes sont :
Certaines pratiques douces existent depuis des millénaires comme la médecine chinoise ancestrale. Leur approche vise la prévention en apportant des bienfaits naturellement. Ces médecines douces s’appuient sur l’équilibrage d’un mode de vie sain et sur le renforcement de l’immunité du corps. On y retrouve :
Vous êtes adeptes des médecines douces et désirez adapter votre complémentaire santé à votre situation ? Parlons-en ensemble ! Nos conseillers sont à votre disposition au 03 21 23 83 00 du lundi au vendredi de 8 h à 18 h ou directement en agence.